Bluesky-travelCarnet de voyages de Julien Thomas

- De Ho Chi Minh à Pleiku -
(du 8 Novembre au 4 Décembre 2013)

* Dernier post du Vietnam *

Si vous prenez goût à ce site
Merci de revenir également sur les articles précédents et les albums photos
Ces derniers sont fréquemment et toujours en cours d’améliorations
Merci aussi pour vos commentaires et impressions
Est-ce que cela vous plait ?

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Bon, là c’est le grand jour. Je m’en vais prendre la route pour si tout se passe bien
quelques bons mois de Voyage !
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• Et c’est reparti !

Après 5 nuits à Ho Chi Minh et un visa Finalement renouvelé
J’ai pus profiter de ce temps à attendre pour trouver pas mal d’infos sur les régions, villes et lieux à visiter.
Loin d’être négligeables
Mais certains bons coins peuvent souvent, bien aussi se dégotter au détour d’une sortie de route pour quelconque raison !

• Une première étape sur la cote Est

Longues plages, mer à bonne température, vieille ville très liminaire, Kitesurf et autres activités, ainsi que ces fameuses dunes de sable aux multiples renommées, etc sont quelque un des éléments qui offrent à ce coin de la région de Binh Thuan (Bình Thuận) la renommée d’un super cadre balnéaire, qui commence à avoir bonne réputation pour touts genres de touristes que nous sommes.

Mui Ne est un petit Saint-Tropez au Vietnam, en pleine expansion où une bonne partie des différentes enseignes se lisent en Russe.

Une seule vraie rue commerçante, bien plus longue que notre rue Sainte-Catherine à Bordeaux ! lol – pouvant bien certainement accueillir ces lignées de bus que je voyais alignés (pour ne pas dire encastrés) le long de cette route aux abords de la plage.
Du monde qui transite, ainsi qu’au quotidien, c’est sûr que l’on peut en trouver.

Certains aiment ça, d’autres se soucient uniquement du cadre et non du reste. Moi perso en vacances, j’aime bien être tranquille ! « si on cherche, on trouve » ? cela peut coller.

Il m’est facile de vous en dire que de sacrés beaux spots de plages à l’abri de la foule, ça, il y en a. Des moments ou vous pourriez avoir la chance d’apercevoir ces « bateaux de pêche en forme de paniers » (que l’on peut voir un peu partout quand même) qui viennent accoster eux aussi aux abords de ces belles et grosses barques, poussées et ramenées sur le sable par quelques locaux assis au bord de mer à écouter le temps passé .
- Donc oui, il faudra vous trouver un moyen de vous déplacer -
Des paysages que l’on n’imaginerait pas au Vietnam (ça, c’est juste un peu plus loin) aux routes super agréables ! Mais là aussi, faudra s’avancer un peu plus dans les terres.
Un ensemble qui peut prendre une autre forme quand on devient mobile.
Cela pourrait être dommage d’être si prêt et peut être d’en passer à coter.

Et c’est donc là ou ce blog / site deviendrait intéressant !

Des routes à certains sentiers déjà traversés ou plus, qui pourraient donner quelques infos et idées aux futurs Voyageurs – des conseils comme toujours, bons à prendre.
Par exemple sur la Road Map en tête d’article, regardez ce que l’on peut trouver à quelques kilomètres de Mui Ne si vous décidez de louer quelconque moyen de locomotion.
Des plages bondées à celles ou il n’y a pas un chat, si vous continuez votre journée (Nord Est de Miu Ne) les bourlingueurs pourraient y trouver leur bonheur !

Pas toujours facile / naturel, de chercher à sortir de ces quartiers prédestinés si l’on n’est pas sur
(« au moins ») de trouver de quoi raviver ses rétines. On pourrait simplement ne pas y penser, ou juste en être aussi désintéressé.
Des journées passées dans quelques villes continuent à me faire entendre qu’un certain nombre…  de voyageurs, ne trouvent pas grand-chose à faire dans ces endroits réputés comme : Destinations incontournables – Après / hormis les diverses activités que celles-ci proposent.
Mal informés et aiguillés nous ne sommes qu’une petite minorité face au traditionnel tourisme que afflue ne « cherchant que ce qu’on lui propose » ou ce qu’il lit dans l’habituel guide de voyage.
Certains sites bordant d’autres restent oubliés. Et quel dommage !

– D’ailleurs – Pourquoi essayer de vendre (ou d’en savoir) davantage,
si ce qui est proposé à la majorité suffit à ses intéressés ?

Ce sera après une petite semaine passée sur les routes (déjà !) et une impression de jours qui s’alignent comme des heures, que j’en arriverai à me stopper sur Miu Ne.
72h de bon repos que je prendrai en attente de beau temps, plus un petit extra
Qu’est que c’est bon d’arriver à un hôtel en début de matinée – quand il faut, je m’arrange à camper pas très loin de la ville.
Poser illico presto ses sacs et pouvoir enfin profiter d’une nouvelle journée comme bon nous semble. Ahhhh !

Un grand merci à Son, mon poto et manager de :
Ma « deuxième maison » au Vietnam !
(lien vers le site de la Guest House dans un article précédent)
qui a put me dégoter un permis de conduire moto Vietnamien
Enfin entre les mains il est : Ma Gate Away to … Cambodia !
Surement pas obligatoire pour passer la frontière, mais pouvant grandement faciliter ce moment que tous voyageurs doivent forcement appréhender.

• De la région du Lam Dong au Dak Lak

Une suite de chemin qui se poursuivra par au moins (et plus), la ville de Da Lat pour finir à Pleiku.
Pour l’autre (la plus importante) qui se trouve entre ces deux régions – dans Gia Lai – ce sera pour la dernière partie de l’article

>> Coté cascades
Un peu partout où vous vous rendrez en Asie, il devrait être envisageable d’y visiter diverses cascades.
Un conseil bête et méchant (bon à rappeler quand même) est de commencer votre voyage si possible, dans le pays où vous désirez clairement, visiter l’une d’entre elles.
Au lendemain de quelques mois de chaleur impitoyable les chutes d’eau ne sont pas aussi vivaces qu’après une bonne saison des pluies.
Les plus belles d’entre elles (d’á ce que je m’en rappelle) sont
– pour le moment – au Vietnam

Il en existe au moins une quarantaine (répertoriées sur mes cartes)
dont une bonne moitié dans ces deux régions.

Restauration, hebergement, attractions aquatiques, air de pique-nique etc sont quelque une des facilités pour celles de renommées, mais…

Infos hébergement :
Si l’on se décide à Voyager au Vietnam, il y a un ‪b.a.-ba‬ à connaitre (et ça tombe bien, le site sert à ça)
et à commencer à écrire dans son petit carnet réservé à la langue du pays.
Comme ces quelques mots pour demander son hébergement.
(rigolez pas vous allez vite comprendre pourquoi)
Le petit livret illustré des dessins en couleur c’est pour les briscards et les cocasses !!
– quoique, ça peut bien dépanner –
Ne comptez pas sur moi pour vous sortir la phonétique ! (tout ce que je peux vous dire c’est qu’ici on parle comme une vache Espagnole)
nhà nghi : motel
nhà trð : guest house
khách sąn : hôtel
ŏ đâu ? : où ?

Avec ça et quelques essayes aux près des locaux « Anglicistes » ou pas (comme j’aimerai vous y voir !) Vous êtes déjà rodés pour vous trouver un toit trois fois moins chère aux portes de certains de ces endroits ! Et même PARTOUT, dans le Vietnam.

Le parler est une chose
Arriver à lire ou reconnaitre certains mots en cours de route en est une autre

Avant de vous renseigner sur celle que j’ai préféré, je me permet de vous rappeler que la tache de :
Bien préparer son voyage, peut s’avérer essentiel.
Vous croyez pas que je vais tout vous donner non plus ?! – rire –

Thác Pongur, Thác Dambri et Thác Dray Nur sont quelques une de ces quelques cascades que vous trouverez entre ces deux régions, qui regroupent par ailleurs plus d’une bonne moitié de la totalité de celles du pays.
Tiens !? Vous venez d’apprendre un cinquième mot.

En remontant sur la carte interactive en haut de page, vous y trouverez
les emplacements exacts de ces trois dernières, mais…

Avant cela, allez donc faire un tour sur l’album photo du pays en cliquant >ici< visitez-le dans son ensemble, avant de peut être planifier une étape dans votre prochain voyage.

Ce que je peux vous en dire c’est que celle-ci est vraiment superbe / majestueuse. Je n’y ai pas vu un touriste western (et si peu d’autres) pendant les heures que j’y ai passées.
Et pourtant j’appréhendais ce fameux matin, quand je voyais ces bus défilés sur la route, dont certains faisaient une pose déjeuner au motel ou j’avais passé la nuit.
Et un ticket d’entrée pour la visite cinq fois moins chère que d’autres !

Et qui sait, il y en a peut-être encore d’autres ? …

NB : Il y a eu de très belles et fameuses photos faites de cette cascade (dans l’album) en compagnie de tierces personnes, qui n’ont pas voulu venir quand j’y étais.
Vous devriez en trouver avec l’ami Google Image en cherchant un peu.

>> Sur la route
Avoir une bonne carte routière est un atout Incontournable.
J’en dirai plus dans d’autres articles, celui-là est suffisamment long !
À moins que j’en aie déjà parlé auparavant ? Non.

Des paysages de ces régions par lesquelles je suis passé et pour ce que j’en ai vu ; il n’y aurait que peu de choses à vous dire : MAGNIFIQUE – de la bal !
Des routes très belles et classiques bordées et bondées de montagnes ou collines, de la foret partout autour ; à celles ou l’on décide de s’arrêter ou bon nous semble, autant de fois que l’on n’en a envie pour d’apprécier et contempler ces plateaux de différentes couleurs, cultivés et vallonnés (comme le dit l’expression) à cent lieues à la ronde.
« Qu’est-ce que c’est beau »

C’est dommage quelque part (certains n’ont pas le choix) de traverser ces endroits un livre entre les mains, attendant ou rêvassant derrière la vitre du bus, à éventuellement prendre une médiocre photo ou encore bien plus ballot : d’y dormir !
Alors qu’il pourrait être concevable, de passer quelques minutes ici ou là à capoter sur divers points de vus.

Petite pensée du moment : Comment imaginer qu’il y eu la guerre dans des paysages aussi beaux et majestueux ?!
Des morts, du sang, des hommes et tanks en pagailles…
A l’heure actuelle : impensable.

Avoir des connaissances des temps passés peuvent permettre d’apprécier encore plus, ce que nous sommes amenés à rencontrer, ce qui vient à nous entourer et nous émerveille.

Après la première visite d’usine d’empaquetage de thé tenu par la minorité locale c’est…

« Dans ce paysage prémontagneux, ce sont fermes et arbres fruitiers producteurs de thé et de café, s’agençant sur ces collines qui nous entourent harmonieusement à quasi-perte de vue.
Un petit pont à l’ancienne Made in Vietnam, sous lequel le bruit des rapides vinrent à se mêler à l’atmosphère déjà présente. Puis en continuant le sentier, nous arrivâmes sur ce qui devait surement faire partie de la source d’irrigation de cet endroit.
Une petite et superbe agréable cascade (non répertoriée) des plateaux aux cotes desquels, les eaux nous affleurant, nous arrêtâmes la balade et avec « grande » surprise et pure simplicité pour : Casser la croute et prendre l’apéro.
Spot squatté par quelques jeunes couples Vietnamiens en appétit de calamars au BBQ, divers fruits et légumes plus la boisson locale et une suite de ces bons moments vécus et à venir qui commencèrent lors mon arrivée et lever de main (salutation) par une belle gamelle sur les rochers glissants !  »

Des moments mémorables avec cette personne / mon « guide » lors de notre imprédictible rencontre dans l’hôtel ou je venais de passer la nuit.

Bref un petit récit pour vous témoigner que pendant un Voyage, une certaine partie de son ensemble reste d’éternels points de suspension…
(inutile de vous dire que j’ai toujours étais le seul étranger dans cette histoire)

D’ailleurs / au passage (hehe) je n’avais encore jamais dormi dans un hôtel 2 étoiles.
Xin cảm ơn Jack Ie !

Si la routine peut être perceptible, les aléas du Voyage sont quant à eux imprévisibles.
ou encore …
« Si vous pensez que l’aventure est dangereuse, je vous propose d’essayer la routine, elle est mortelle. » Paulo Coelho

« Without rice, we cannot eat. »

• Une fin proche

C’est le dernier jour, le visa se termine demain et va bien falloir partir, quel dommage !
 Après plusieurs semaines dans les campagnes toujours en contacts avec les populations locales, disons que je m’y faisais bien à cette atmosphère et commençais à me dépatouiller avec le basique de la langue. Quel charme !
 Plus j’y serais resté, plus j’aurais eu du mal à en partir. Pas d’autre extension, on en fini pour cette fois.
Le voyage ne fait que commencer !

Le Vietnam c’est pas encore finit pour autant ! Toute une partie dans laquelle je n’ai encore jamais mis les pieds et qu’il me tarde de découvrir. 
Ça sera pour ma prochaine et quatrième entrée

La région dans laquelle je me trouve « Gia Lai » est réputée (comme d’autres) pour regrouper un certains nombre de communautés / ethnies vivants comme je l’ai entendus de certains voyageurs, de façon primitive … hummmm
Le pays regroupe 54 ethnies reconnues leur gouvernement et différents dialectes qui divergent de l’une à l’autre !
 Des attitudes bien différentes de celles des Vietnamiens, une façon de vivre, une autarcie quelque part ou un échange de regard peut s’avérer loin d’être évident.

C’est après divers passages et arrêts ou je finis par assimiler cette expression qui dit que : plus les enfants sont sales, plus je les trouve beaux.

Dispatchées un peut partout dans le pays, on peut trouver (ou on connait) certaines régions regroupant certaines de ces populations.
J’ai pus néanmoins en rencontrer certaines et pendant mon temps avec l’une d’entre elles, j’étais accompagné d’une « traductrice ». Quelle chance de l’avoir à mes cotés ! Des appréhensions, intentions et informations récoltés qui n’ont rien eux à voir à une furtive visite.
Rencontrée par hasard et très heureuse de discuter avec un voyageur qui s’intéresse aux us et coutumes – en fait ! – de sa famille.
Thanks Jet !!

Dans certains endroits (comme dans la région du Dak Lak)
il est possible pour 100.000 VND part nuit (5 USD)
de dormir dans le village d’une des communautés et accrochez-vous :
Même dans leur maison !
Entre activités journalières et déambulations dans cette rue et ruelles qui pourraient ressembler à un documentaire du pays d’il y a des années, on prend place, on s’immerge dans des cadres et scènes de vie au quotidien, qu’il n’est possible d’imaginer qu’en y prenant part.

« Business is business » ou / et est-ce une certaine mentalité qui pourrait illustrer ce souvenir ? :
Après avoir rencontré mon interlocutrice pour louer ma chambre, celle-ci m’a sans hésiter annoncée sont prix en Dollars Américain.
Quelque part cela pourrait être pris comme un « je m’en foutisme » et n’avoir que pour seul intérêt, l’argent que peut importer un touriste. Déjà que dans certains endroits ce n’est pas ce qui me fait sourire, alors dans une communauté d’ethnie, NON ! On n’est pas en Amérique que je sache ?!
Avec ou sans cet exemple, il est aisé de sentir cette atmosphère distante qui peut venir vous entourer, lorsque tout le monde vous voie arriver et déambuler dans leur village. Des regards et intentions qui ne sont pas les mêmes que ceux et celles que l’on peut ressentir dans un petit hameau sur un bord de route ou après avoir prit une tangente.
Être astucieux si vous voulez passer de vrais moments, une fois que les villageois auront perçus que vous pourriez vous détachez du lot et vous pourriez peut être vous souvenir, vraiment, de ce / ces temps, vécut(s) au sein d’une minorité.

Why not : Pourquoi ne pas aller dormir dans un hôtel pré-destiné au tourisme ? Une nuit qui ne couterait pas plus cher, avec un confort sans égal et ce dernier certainement pas très excentré.
Ou… faite du camping !

Pouvoir se dire ou raconter que l’on est allé dormir chez une minorité M’nong et finalement avoir seulement roupillé ou cuvé sur un matelas, au dessous d’une moustiquaire sans ne RIEN avoir (à) partagé(r) avec ces occupants ? Bof.
Peut être qu’ils ne sont pas non plus contents que vous soyez chez eux ? Quoique, ils doivent bien avoir une redevance. A moins que la maison soit déjà était achetée par cette personne qui vend la nuit !
Raaaah !! Arrête Julien !
sorry

Tout le monde a dut entendre parler de cette légendaire hospitalité Asiatique et bien entendue aussi Vietnamienne.
 C’est clair ! Combien d’interpellations en cours de route, pendant une pose photo etc ou l’on cherche à vous inviter pour partager : verres de thé, traditionnel whisky distillé très certainement
chez le voisin, ou encore vous appeler pour venir partager un repas.
Et toutes ces occasions je pourrai les compter avec mes deux mains, chaque jours !
J’en viens à cette question qui pourrait m’interroger de ces même invitations (dans ce centre) qui pourraient être : L’origine de cette authentique attitude populaire, mais ici même détournée ?

Note : J’ai lus sur le net qu’un certain écriteau « Bienvenu au village touristique de Jun » était présent auparavant…

Un spot qui a pour principal attrait la balade à dos d’éléphant – je vous laisse deviner la monnaie d’échange annoncée
Une excursion qui se terminera, ou commencera par un indémodable tour dans le village avec des touristes qui ressemblent plus souvent (désolé pour la comparaison)
à un groupe de Chinois en vacances – Et la France au rendez-vous !
On m’évoque même Ségolène Royal quand je viens pointer l’auto-collant de la Charente-Maritime collé sur la moto…
Et le Pineau des Charentes, il n’est pas plus fameux ??!
Les vacances pour certains… Parlons de voyage ??

Des villageois qui ne sont pas très contents de ces amoncellements qui viendront prendre part à leur quotidien, iront acheter boissons et nourritures dans ce petit Quartier Général ou l’on ne parle qu’Anglais et qui iront en plus les emmerder avec cette audace de photographie que nous connaissons tous
Et pourtant, à 5 minutes à pied il y a le marché. On y trouve de tout ! Plats cuisiniers et j’en passe, serpents, têtes de cochons, animaux à vendre, coiffeurs etc – avant, on y aurait même trouvé du tigre…

Un endroit beau, aussi bien tôt le matin qu’en pleine journée. Un endroit où après quelques kilomètres parcourus il est possible de retrouver un cadre avec la nature comme nous l’avons oublié où les quelques autres hameaux qui n’ont pas affaire au tourisme vous accueillent avec sourires, gestuelles et le fameux : Hello !
Quelques jours passés, dans cet endroit qualifié par certain Easy Rider Vietnamiens (infos dans un ancien article que je retravail) rencontrés sur place comme : The Real Vietnam …

Et ce n’est pas le seul, loin d’là !

Hẹn gặp lại Vietnam.