Yes ! Au Cambodge !!
Dans le Ratanakiri
(du 5 au 9 Décembre 2012)
• Arrivé à Banlung
Bonjour Bonjour !
Donc bien arrivé au Cambodge où depuis quelques jours dans
la province du Rotanah Kiri (ou Ratanakiri) à Bunlang, je m’apprête déjà à partir manger de la poussière – et ce sera le cas de le dire – sur les routes qui vont m’emmener à Sen Monorom pour une prochaine étape.
Cette province n’est que peut développée, on retrouve néanmoins dans cette ville de grandes facilités pour le tourisme. De la traditionnelle balade à dos d’éléphant à la visite des chutes d’eau
(au moins Cha Ong) et sans oublier l’incontournable baignade dans le lac Yeok Laom (Boeung Yeok Laom), un ancien cratère de volcan formé il y aurait 700.000 ans où le port du gilet de sauvetage et obligatoire ! et ou, hormis le cout d’entrée dans le site, la location du gilet est elle aussi payante. hummm
Deux Parcs Nationales bordent la ville où apparemment ça vaudrait le coup d’y partir quelques jours, accompagné d’un guide.
- vous trouverez leurs locations en réduisant la carte interactive de l’article -
Des Guest Houses, Motels ou Hôtels pour tout les gouts et tout les budgets, avec de mon coté (bien au chaud) une très bonne adresse sous le coude.
• D’un coté plus authentique
- Des forgerons au Cambodge ? Et Oui !
Pas bien loin de Banlung (donc surement un peut partout), je suis tombé sur un atelier de forgerons armés de moyens surement plus rudimentaires que nos homologues moyenâgeux, designant et fabriquant des outils de tout les jours.
Vraiment surprenant ce travail, cet art – en binôme – que l’on ne retrouve pas tout les jours.
- Des alentours de ville – que je vous conseillerez d’aller au moins prendre connaissance – qui vous donneront un premier, rapide et général aperçut, d’à quoi peut ressembler le Cambodge dans sa quasi intégralité.
Si certaines routes parcours sont dorénavant goudronnées, dans la campagne environnante cela pourrait en être loin d’être le cas
(lunette et masque, Indispensables).
Peuplée petits hameaux et composée en grande partie de minorités, la langue officielle Cambodgienne ne sera donc pas comprise, même si vous en avez des notions. Entre des habitations très rudimentaires, pouvant s’apparenter pour certains d’entre nous à des maisons de bidonville…
Des enfants qui peuvent vous craindre de part leur méconnaissances et autarcies générales, vous pourrez tout aussi être aussi surpris par la découverte de la source d’énergie domestique qui ne sera ni plus ni moins, qu’une batterie de voiture (qui servira à alimenter la lumière du soir ou la recharge du téléphone portable en journée) …
Et donc nous ne sommes qu’à 5 kilomètres de la ville.
Certains ne penseront pas à y aller, d’autres n’auront pas cette envie se rendre compte, trouverons un prétexte ; une attitude de voir / considérer une autre facette – dommage
Moi et l’envers du décors ? comment dire …
- Un Google Maps presque vide de tracés (hormis Satellites – et encore il faut les trouver), des sentiers parcourus creusés par les précédentes charrues qui ont dû s’y enliser,
un climat actuel très sec et des habitants ici comme ailleurs, qui ne sont pas prêts de parler un mot d’Anglais.
Si au cours de votre temps en ville ou en campagne, vous êtes amenez à rencontrer des Cambodgiens qui cherchent à vous vendre : pierres et petits bijoux montés, cela et tout à fait normal car la province est minière.
Pour les curieux et ceux en quête d’infos, il serait même possible de visiter certaines mines du coin et pourquoi pas y trouver sa propre pierre souvenir !
• Le voyage quelque chose de facile ? Non, et encore moins au Cambodge.
C’est la première année où j’apprends que quatre personnes ont eu divers accidents sur ces routes.
Et pas que des filles ! … oups désolé.
Ce n’est évidement pas parce qu’on loue une bonne moto, qu’on est en sécurité. Beaucoup de backpackers se trompent sur ce point ainsi que d’autres. Attirés par un challenge, un Road Trip à un prix abordable, où on peut facilement se ramasser…
Manque de préparations, d’expériences de voyages, de débrouillardises, de connaissances ; euphorie entre copains et copines, qui pourrait coûter chère – et dans tout sens !
On ne se lance pas à l’aventure par ce simple phénomène que nous connaissons tous : L’envie d’avoir, d’avoir fait.
Faites ce que je dis et pas ce que je fais.
hummm ..
D’un point de vue perso : Pour une première, pourquoi ne pas louer un engin ne répondrait pas tout à fait aux conditions adéquates pour une traversée (moins chère), auquel son conducteur devra donc « normalement » y faire plus attention, devra être plus assuré, vigilant.
On y va tranquille, ça ne sert à rien de bruler les étapes…
Mieux vaut revenir !
… Bref sur ces bonnes paroles, demain je m’en vais prendre la route avec une moto qui en veut et son pilote qui en connait déjà un peu sur le pays, ses routes, qui sait se débrouiller en cas de problèmes et qui est surtout à l’aise avec la population locale.
En voyage, on en apprend tout les jours.
• En Voyage
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