Back to VN ! | Bluesky-travel

* Vous pouvez cliquer à droite de la photo - tête d’article - pour visualiser le dernier trajet parcouru *

Et nous voila repartis au Vietnam !
Un dernier croché… très prometteur

Et voilà. C’en est un sixième !
Dernier et ultime passage frontière qui vient de se dérouler.
Et Pas Rien !! Je vais vite en parler.

• Bye bye Laos

C’est à quelques kilomètres de la ville de Lak Sao (province de Borikhamxai)
que je quitte donc le Laos, par le poste frontière de Cau Treo.
(zoomez sur la carte interactive pour plus de détails)
Ce sera sous un temps froid, brumeux et pluvieux ! – avoir une tenue chaude peu toujours être utile – que j’en finis avec ce beau pays, un Samedi 13 Avril 2013 et premier jour des festivités pour le Nouvel An Laotien (Sabaidee Pi May) qui dure officieusement 6 jours.
Un Laos qui est suivant le calendrier luni-solaire (comme d’autres) déjà en 2556 !

• Infos passage frontière - ça aurait pu être pire …

* Pour faire court :
- Il y a quelques mois, j’avais fait une demande de visa pour le Laos, à son ambassade en Thaïlande.
- Un visa collé sur mon passeport valable exactement 2 mois (comme le conseiller me l’avait annoncé), entre ma date d’entrée et celle de sortie.
- Et une amande d’overstay* (séjour prolongé*) qui aurait pu me coûter plus de 200 $ !

* C’est à dire : Qu’une demande de visa pour le Laos à l’ambassade doit être rare – jamais vu personne d’autre.
- Ce visa se fait généralement lors de son arrivée dans le pays et il est valable 1 mois.
- Via l’ambassade c’est 2 mois.
(Je le croyais même de 3 mois…… de ce qu’on m’avait annoncé, après avoir signalé ma nationalité)
- Du personnel au poste frontière (lors de mon entrée au Laos) qui n’a pas dû faire attention aux dates
(mouhai…) et qui a donc validé mon visa de seulement 1 mois !
- Et un nombre de jours (durée de permission pour rester dans le pays visité) au Laos, qui n’apparaissait pas sur ce nouveau visa imprimé.

* Donc : Pour tous visa, il faut garder en tête que le joli autocollant qui prend une page sur notre carnet de 26 « ne sert à rien » et qu’un simple coup de tampon a bien plus de valeur !

On en apprend à chaque fois. Donc il faut garder en tete qu’il bon de prendre son temps (facile à dire..) parler aux personnes concernées, poser les bonnes questions, que les choses soient claires.
Vérifier ultérieurement, se rendre compte d’un problème dans les secondes qui suivent, c’est tant pis pour vous.

Un peu anxieux.. car déjà que ça n’a pas était simple pour me tirer d’affaire, j’appréhendais tout autant pour la moto. Elle aussi (annoncé dans un article précédent) dispose d’un visa et dans certains pays, d’une sacrée grosse amande voire une impossibilité de sortie, si la durée de permission d’entrée a expirée.

• Première étape : Vinh City et retrouvailles !

Quelques mètres après avoir passé le dernier contrôle Laotien, j’ai vite fait retrouvé une ambiance pleine d’entrain et bonnes humeurs avec du personnel en poste (qui n’ont pas voulu se faire prendre en photo quand ils se sont mis à essayer ma moto ) et groupes de touristes Vietnamiens.
Le Vietnam et moi c’est sur : Ça colle

Néanmoins un poste de frontière je vous dirai bon à retenir. Car en plus que le challenge soit jouable, celui-ci est aux portes de belles provinces Vietnamiennes avoisinantes, Hanoï à 350km et seulement à une centaine de kilomètres, Vinh ! Une ville que j’aime bien pour quelque raisons :
- Bonne ville, grande et étendue (t’as dit quoi, là , Julien ??)
- A l’écart du sentier touristique – pourquoi ? – tant mieux !
- Un super parc.
- Bonnes ambiances le soir à tous les coins de rues et parcelles d’herbes.
- Un marché couvert et extérieur super riche de choses en tout genre.
- Certains bâtiments et attitudes des occupants qui ne datent pas d’hier.
- Et à quelques kilomètres on pourra visiter : Quê huong Bác Hồ*

La maison d’enfance d’Ho Chi Minh* – indiquée sur la carte interactive.

De bonnes raisons pour y revenir après deja 3 ans lors de ma première venue. Et du coup, faire une petite surprise à un ancien collègue / ami, sa femme, son fils et une petite nouvelle (photo en tête d’article ;)) – tous Vietnamiens – rencontrés dans une boite où j’avais travaillé en Australie.
Dorénavant propriétaires d’un Hôtel dans le centre, c’est avec plaisir que je pourrai vous transmettre leurs coordonnées (pas encore de site internet).

Pas évident de se remettre au Vietnamien.. même si mes amis parlent Anglais, mais essentiel pour la suite du voyage (à mon gout) ainsi que pour ce mariage auquel je fus invité.
Un super timing et ou quasiment aucun des 300 invités ne parlaient évidemment Anglais !
(Plus la peine de vous dire que j’étais le seul étranger)

Moments qui peuvent devenir compliqués pour être appréciés – voir même pleinement vécus – (« à leur juste valeur » on en est loin), si nos quelques mots de vocabulaire se limitent à : bonjour, merci, santé, au revoir, etc. Si notre cervelle n’est pas ne serait-ce qu’un minimum « switchée » en Vietnamien.
Faire le premier pas n’est pas toujours facile pour certains.
Se dire : être à deux ou parler, devoir rester uniquement avec ses amis ? – qui vivent leur vie eux aussi de leurs cotés.
C’est un coup à rester de son coté ou trinquer uniquement avec les différentes tablées sans peut-être même prendre conscience de l’attitude qu’ils ont, de la façon à adopter lorsque l’on picole avec eux.
(…)
Mémorable.

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Une reprise de voyage maintenant direction mon point d’arrivée de France d’il y a quelque mois, Ben Tre.
Oasis Hotel ! En fait me revoilà et devinez quoi ?
Toujours en Moto !
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A suivre.