De Banlung
à
Sen Monorom
(du 9 au 16 décembre 2012)
Article en reconstruction
Bien arrivé à Sen Monorom !
• Entre le Far West et l’Outback Australien
Avant de parler de cette nouvelle province du Cambodge, commençons par le début :
C’est à dire de ces 3 jours intensifs en moto, cette première session au Cambodge.
Impraticable en 4 roues, il y a quelques conclusions à tirer de cette « balade » entre Banlung et Sen Monorom, cette traversée de 180km – surtout de la piste – à travers :
Pur Outback ! et forets ou jungles, comme certains l’appelle.
Un Road Trip connu par certains acharnés du voyage au Cambodge, une « aventure » qui vous emmène sur des « routes » pas toujours référencées sur Google Maps.
Des pattes d’oies, où l’on n’a pas la moindre idée de la direction à prendre. Même avec de l’expérience il n’est pas possible de répondre à ce genre de questions.
La solution ? je vous dirai : suivre sa boussole … et son fealing !
Généralement traversée en dirtbike (motocross)
- pour conducteur avertis ! - celle-ci (bien plus chère) n’est pas indispensable en saison sèche.
Elle aiderait aux passages poussiéreux, sableux – à deux sur un skouter c’est un peut moins facile.
Mais certainement bien plus utile pendant la saison des pluies !
Un sacré parcours qui se distingue en plusieurs étapes, pour les motivés.
Hormis les quelques villages et routes principales du début, la traversée est couverte dans sa majorité de pistes et de sentiers où bien souvent les seules âmes qui y vivent sont les oiseaux, écureuils et quelques animaux sauvages – sans en oublier les insectes !
Ce qui veut dire : pas d’habitation = pas d’essence !
Un choix de véhicule, ou une préparation post départ plus rigoureuse est donc indispensable (un skouter a un réservoir de 5L en moyenne)
Les paysages et surfaces pratiquées bien diversifiés.
Les cyclistes (en VTT) que j’ai rencontré n’avaient pas qu’une seule bouteille d’eau accrochée à leurs bagages !
Quant à ma moto, elle n’a pas donnée sa part au chien !
Une tête Old School au profil Easy Rider, de bonnes suspensions, capacité de 10L et un super siège ! Les routes détériorées et ponts construits en rondins de bois
(voir photo en début d’article) ne nous ont pas fait peur.
Ça Passe !
Aucune connexion 3G autorisée au Cambodge, donc rien qu’un smartphone et l’utilisation de Google Maps pour trouver sa direction : On oublie. La technologie ne peut pas toujours répondre et faire de vous un voyageur – en tout cas dans ce genre d’endroit.
On trouve aussi pendant la traversée un certain changement de cadre et d’atmosphère après seulement une quarantaine de kilomètres parcourus dans la foret. Un début de prise de conscience lors de ma rencontre avec des géomètres.
Des sentiers où seulement la largeur d’une charrue pouvait passer deviendront dans 3 ans :
Une voie de neuf mètres de large qui relira le Nord-Est au Sud-Ouest.
De cadres ombragés aux surfaces ressemblant à celles de nos forets ; une identité qui vient à changer lorsque tout à coup, on en arrive à se retrouver nez à nez avec une pelleteuse …
Le bruit de celle-ci (un peu similaire au bruit de la moto) contraste et diffère avec les sifflements des oiseaux qu’on pouvait entendre lors d’un arrêt. Mais ceux auxquels je n’avais pas encore été confronté, ont été ces incessants craquements et chutes d’arbres environnants sous le poids du bras hydraulique.
- Une sacrée scène qui vous fait passer du jour à la nuit en moins de temps qu’on peut l’imaginer –
Depuis mes venues en Asie, j’y ai trouvé certains points intéressants, positifs, mais …
Même de ces endroits quasi immaculés, on trouve là encore des déchets en tout genre.
Et surtout d’emballages, conditionnements alimentaires, « parsemés » par les équipes d’aménagements.
Quand les majorités Asiatiques auront perdus cette habitude de Jeter, il y aura eu un grand pas de fait.
• Sen Monorom (arrivée le 11 décembre 2012)
Région du Sud-Est du Cambodge, le Mondol Kiri est une province qui est en train d’ouvrir ses portes aux quelques touristes aventureux et ceux qui cherchent à sortir du cercle du tourisme de masse.
Sen Monorom est donc la seule ville ou il est possible de retirer de l’argent dans le coin.
Depuis quelques années une ville qui a apparemment bien évoluée, du petit village de campagne à ce qu’elle est devenue. Un endroit agréable pour se reposer loin du stress de la ville ou il fait bon à respirer l’air frais des quelques majestueuses forêts environnantes qui de plus, offrent un super cadre pour le coucher de soleil !
Une atmosphère où les gens sont bien plus chaleureux que ceux que l’on peut rencontrer dans les grandes villes.
Par exemple : Après un bon moment passé, l’un d’eux m’a donné l’une de ces pierres qui proviennent des mines environnantes, collectées et vendus, brut ou poli pour touristes ou locaux.
Un beau geste en guise de souvenir.
Ville que je n’ai pas pris le temps de visiter (du moins ses alentours).
Coté tourisme on peut y trouver : chutes d’eaux, mines de pierres précieuses, balades en éléphants et quelques ethnies Phnong.
Je me limiterai dans cette partie à évoquer certains aspects (dont j’ai entendus parler) d’organisations que l’on peut rencontrer un peut partout en cours de voyage et qui s’occupent d’un business très actif en Asie :
Les différentes activités avec les éléphants.
Du trek de plusieurs jours ou de son intégration dans un centre pour apprendre à vivre avec les éléphants, ces dernières se divisent au moins en deux branches : Celles entretenues par les natifs et celles par les expatriés.
Généralement moins chères aux l’enseignes plus attrayantes et certainement mieux diffusées il ne faut pas prendre de tête que pour certaines ethnies cela est (et grâce au tourisme) leur principale rentrée d’argent.
Un concours d’idéologie sur la façon de traiter l’éléphant au quotidien, qui serait bien mieux adapté par certains organismes que part d’autres.
(remise en cause d’un Savoir et/ou prise de position ?)
Et qui bien évidement Marche.
Avec du matériel moins rudimentaire, en bien meilleur état et surement plus joli, on sent cette animosité dans la bouche de ces pacifistes Asiatiques pour lesquels, à part conseiller les touristes et en informer certains, ne peuvent rien faire à cela, et quel dommage !
Le terme « Eco-Tourisme » devient très à la mode …
Comment un vacancier pourrait-il donner son avis sur la « meilleure » façon de traiter un éléphant ?
La majorité des chiens que l’on peut croiser ici et la ne sont pas si malheureux que ça, meme si ils sont un peut maigrichons. Mais surtout qu’ils ne servent pas vraiment à leurs propriétaires !
Je l’avais déjà évoqué dans l’un de mes posts, mais ici il y retrouve aussi bien sa place : Le saviez vous que les éléphants se reproduirons seulement dans leur milieu naturel et non en captivité ?
(…)
Une suite de voyage qui va maintenant m’emmener dans un endroit où ils furent de courts, mais intenses moments !
À suivre.
(Du 9 au 11 Décembre 2012)
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